À Hathras, une unité médico-légale et une équipe cynophile se sont rendues sur le lieu de la bousculade. Des équipes de la police armée provinciale de l’Uttar Pradesh (PAC), de la Force nationale d’intervention en cas de catastrophe (NDRF) et de la Force nationale d’intervention en cas de catastrophe (SDRF) étaient également présentes.
Au moins 121 personnes, dont plus de 100 femmes et sept enfants, ont été tuées et 28 autres blessées lors de la bousculade d’Hathras. Le gouvernement de l’Uttar Pradesh a déclaré que six victimes n’avaient pas encore été identifiées.
Une indemnisation de 2 lakh ₹ chacune a été annoncée pour les familles des morts et de 50 000 ₹ pour les blessés.
Le président Droupadi Murmu et le Premier ministre Narendra Modi ont exprimé leurs condoléances aux familles des victimes.
Comment la bousculade d’Hathras s’est produite
Les responsables ont déclaré que l’endroit où s’est produite la bousculade d’Hathras était trop petit pour accueillir la foule qui s’y était rassemblée mardi après-midi. Une femme qui assistait au « satsang » a déclaré que la bousculade avait éclaté alors que la foule commençait à partir.
Après le « satsang », alors qu’il partait, ses partisans se sont précipités pour ramasser la poussière des traces de pneus de sa voiture. Cela a déclenché une bousculade au cours de laquelle des centaines de personnes ont été piétinées.
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Des fidèles étaient venus au « satsang » de divers districts de l’Uttar Pradesh ainsi que des États voisins.
Un comité de haut niveau a été formé pour enquêter sur l’incident.
Le panel sera dirigé par le directeur général supplémentaire de la police d’Agra et le commissaire d’Aligarh, a déclaré le ministre en chef de l’Uttar Pradesh, Yogi Adityanath.
Affaire contre les organisateurs du Hathras Satsang
Une plainte a été déposée contre les « organisateurs du satsang » à Hathras, ont indiqué des responsables. Selon le FIR, l’autorisation a été accordée pour 80 000 personnes, mais plus de 2,5 lakh de fidèles ont assisté à l’événement.
“En raison de la foule incontrôlable quittant la salle, les fidèles assis par terre ont été écrasés. De l’autre côté de la route, la foule qui courait dans l’eau et les champs remplis de boue a été arrêtée de force par le comité d’organisation avec des bâtons, ce qui a permis à “La pression de la foule n’a cessé de croître et les femmes, les enfants et les hommes ont été écrasés”, a déclaré le FIR.
“Les policiers et les responsables administratifs présents sur place ont déployé tous leurs efforts et ont envoyé les blessés à l’hôpital avec les moyens disponibles. Mais aucune coopération n’a été apportée par les organisateurs”, ajoute le FIR.
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Ils ont été inculpés en vertu des articles 105 (homicide coupable ne équivalant pas à un meurtre), 110 (tentative de commettre un homicide coupable), 126 (2) (contrainte injustifiée), 223 (désobéissance à un ordre dûment promulgué par le fonctionnaire) et 238 ( provoquant la disparition des preuves) du nouveau code pénal Bharatiya Nyaya Sanhita (BNS).
Godman derrière le « Satsang » de Hathras
Le soi-disant gourou Narayan Saakar Hari a souvent affirmé avoir travaillé pour le Bureau du renseignement. Il a également dit à ses fidèles qu’il était enclin à la spiritualité même lorsqu’il travaillait et qu’il avait démissionné dans les années 1990 pour poursuivre la voie spirituelle.
Né dans le village de Bahadur Nagari, dans le district d’Etah, dans l’Uttar Pradesh, d’un agriculteur, Nanne Lal, et de Katori Devi, il a effectué ses premières études dans le village.